Résumé :
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Nous n'échapperons pas à la crise mondiale de l'eau, une crise à côté de laquelle les chocs pétroliers de 1973 et 1979 paraîtront anecdotiques. Nous consommons actuellement plus d'eau douce que la planète n'en fabrique par le cycle naturel de l'évaporation et des précipitations. Pour compenser ce déficit croissant et subvenir aux besoins exponentiels des populations, de l'agriculture et de l'industrie, nous vidons des nappes phréatiques vieilles de millions d'années, nous détournons le cours de fleuves majeurs, nous érigeons des barrages gigantesques.
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